The Writings of Sam Houston, Volume II

WRITINGS OF SAM HOUSTON, 1837

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etre repondue plutot, mais me severe in disposition m'a prive du plaisir de le faire.- Une separation des liens religieux aussi bien que politiques entre le Mexique & le Texas possede mon approbation entiere, & ne peut-etre que suivie d'effets salutaires en produissant la harmonie parmi les citoyens catholiques du Texas.- La Constitution du Texas assure a tous les sectes !'exercise libre de leur religion & il me sernble ne mettra pas d'obstacles a voeux qui sont en connexion avec la Sainte Eglise Maternelle. Je ne vois point d'impediment a l'etablissernent d'un Archeveche au Texas, comme aux Etats Unis du Nord. Quant a ce qui regarde la donation de terres & d'autres privileges speciales, cela n'entre pas dans les fonctions du president, rnais il appartient exclusive- ment au Congres. II ne reste au President qu'a exprirner sa veneration profonde pour la vraie religion & la bonne education & ses voeux ardents que leur influence sera repandues dans ce pays naissant. 11 est bien convaincu de leur tendence heureuse d'ameliorer la condition c.lu Genre humain, dans ses relations sociales & temporales & il ne s'est encore jamais doute de leur influence benigne dans le monde futur Eternel, par la Grace de notre Seigneur Jesus Christ, file de Dieu. Jene puis pas. Monsieur le Comte, laisser passer cette occasion, sans vous assurer de la plus haute consideration & de l'estime que j'aie con~ues pour vous pendant votre trop court sejour dans notre pays, et s'il sernblera bon au Saint Siege d'employer vos talens pour le bien du Texas, cela donnera beaucoup de plaisir a Votre Serviteur tres respectueusement, Sam Houston

1 Ashbel Smith Pape1·s, The University of Texas Library. The English translation of the document is about as follows:

City of Houston, Texas, Aug. 5, 1837.

To the Honorable Count of Farnese My dear Sir, Your communication of the 28th, passed, has claimed my especial attention, and according to its importance, should have been an- swered immediately, but a severe indisposition has deprived me of the pleasure of doing so. A separation of the religious as well as the political ties between Mexico and Texas has my entire approval, and should be followed by salutary effects producing harmony among the Catholic citizens of Texas. The Constitution of Texas assures to all sects the free exercise of their religion, and, it seems to me will not place any obstacles to your wishes in connection with the Holy Mother Church. I see no impediments at all to the establishment of an Archbishopric in Texas as in the United States of

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